Le traité Start doit être paritaire en tout
Le refus des Etats-Unis d’inclure dans l’accord la problématique de l’ABM empêche la signature du nouveau traité russo-américain START. Cette opinion a été présentée par le chef de l’état-major des forces militaires de Russie, général de l’armée Nikolaï Makarov. Mais pour la Russie c’est une question de principe et elle va défendre ses intérêts.
A l’époque il y avait un traité, selon lequel la Russie et les Etats-Unis se sont engagés de ne pas développer le système de la défense antimissile. Puis, les Etats-Unis sont sortis du Traité et cela a influencé d’une façon négative la stabilité stratégique dans le monde. Il faut non seulement discuter de la quantité des ogives et des vecteurs, la parité doit être gardée dans toutes les questions. Si la défense antimissile américaine commence à se développer, ils auront plus de possibilités d’abattre les missiles russes avant qu’elles atteignent le but. C'est-à-dire, la balance des forces se changera en faveur des Etats-Unis. La Russie ne peut pas signer un traité pareil et le président américain Barack Obama accepte cette attitude. Ce n’est pas par hasard que la compréhension commune les rapports entre les armes stratégiques offensifs et les armes stratégiques de défense sont reflétés dans le mémorandum sur les intentions, que les présidents russe et américain ont signé lors de la visite de Barack Obama à Moscou en juillet dernier. Selon l’expert du Centre de la sécurité internationale de l’Institue de l’économie mondiale et des relations internationales de l’Académie des Sciences de Russie Vladimir Evseev, aujourd’hui la Russie veut fixer cette thèse dans le traité START. La Russie comprend que le nouveau traité ne peut pas remplacer le traité ABM, qui a été signé en 1972. Donc elle ne peut pas insister pour que les nouvelles restrictions quantitatives (sur ABM) soient fixées dans le nouveau traité START. Pourtant l’indication d’une telle corrélation est sensée et naturelle. La Russie fait preuve de sa fermeté, elle veut qu’on fixe dans le traité le rapport entre les armements stratégiques offensifs et les armements stratégiques de défense. -Entre temps, dans le sénat américain il reste beaucoup de ceux qui ne sont pas d’accord avec cette approche. Certains représentants de l’establishment américains font comprendre que le nouveau traité START n’est pas si important pour les Etats-Unis comme pour la Russie dont certains missiles ne peuvent plus être exploitées à cause de l’expiration de leur délai de péremption. Pourtant, cela ne signifie pas que la Russie est prête à faire unilatéralement des concessions. -Selon les informations qui viennent des deux pays, le nouveau traité START est coordonné de 95 pour cent. La date de la signature du traité ne dépend que de la bonne volonté des pays de prendre en considération les intérêts des deux parties.
A l’époque il y avait un traité, selon lequel la Russie et les Etats-Unis se sont engagés de ne pas développer le système de la défense antimissile. Puis, les Etats-Unis sont sortis du Traité et cela a influencé d’une façon négative la stabilité stratégique dans le monde. Il faut non seulement discuter de la quantité des ogives et des vecteurs, la parité doit être gardée dans toutes les questions. Si la défense antimissile américaine commence à se développer, ils auront plus de possibilités d’abattre les missiles russes avant qu’elles atteignent le but. C'est-à-dire, la balance des forces se changera en faveur des Etats-Unis. La Russie ne peut pas signer un traité pareil et le président américain Barack Obama accepte cette attitude. Ce n’est pas par hasard que la compréhension commune les rapports entre les armes stratégiques offensifs et les armes stratégiques de défense sont reflétés dans le mémorandum sur les intentions, que les présidents russe et américain ont signé lors de la visite de Barack Obama à Moscou en juillet dernier. Selon l’expert du Centre de la sécurité internationale de l’Institue de l’économie mondiale et des relations internationales de l’Académie des Sciences de Russie Vladimir Evseev, aujourd’hui la Russie veut fixer cette thèse dans le traité START. La Russie comprend que le nouveau traité ne peut pas remplacer le traité ABM, qui a été signé en 1972. Donc elle ne peut pas insister pour que les nouvelles restrictions quantitatives (sur ABM) soient fixées dans le nouveau traité START. Pourtant l’indication d’une telle corrélation est sensée et naturelle. La Russie fait preuve de sa fermeté, elle veut qu’on fixe dans le traité le rapport entre les armements stratégiques offensifs et les armements stratégiques de défense. -Entre temps, dans le sénat américain il reste beaucoup de ceux qui ne sont pas d’accord avec cette approche. Certains représentants de l’establishment américains font comprendre que le nouveau traité START n’est pas si important pour les Etats-Unis comme pour la Russie dont certains missiles ne peuvent plus être exploitées à cause de l’expiration de leur délai de péremption. Pourtant, cela ne signifie pas que la Russie est prête à faire unilatéralement des concessions. -Selon les informations qui viennent des deux pays, le nouveau traité START est coordonné de 95 pour cent. La date de la signature du traité ne dépend que de la bonne volonté des pays de prendre en considération les intérêts des deux parties.