Les problèmes de la Russie après la crise

Publié le par Jean-Théophane

      Les questions concernant le climat d'investissements et l’image du pays, deviennent de nouveau, selon « Vremia Novostei », l’objectif principal. On va attirer les investisseurs dans le pays par des moyens différents. La proposition de nommer un ombudsman qui s’occupera des droits des investisseurs, était la plus inattendue. Pourtant cette idée n’a pas provoqué beaucoup d’enthousiasme de la part du président. Selon lui, le Parquet est le meilleur défenseur des droits des investisseurs. On ne peut pas compter sur la baisse du fardeau fiscal, que rêvait le business russe, les possibilités de la baisse sont presque épuisées. Les propositions coordonnées du gouvernement doivent être prêtes en février, mais elles ne contiennent pas des mesures plus radicales qu’un soutient ponctuel des innovations et de la modernisation.

       Entre temps, selon « Nezavissimaya Gazeta », la Russie est un des premiers pays parmi les exportateurs du pétrole, si l’on parle des taux de déclin de l'économie. D’autres exportateurs des hydrocarbures ont conservé leur croissance économique et ont diminué faiblement leur produit brut. La participation officielle de la Russie à G8 a été arrêtée l’année dernière. Selon Andrei Illarionov, l’ancien conseiller économique de Vladimir Poutine, d’après les résultats des derniers six mois, la Russie est sortie de la récession. Pourtant, les fonctionnaires et les économistes indépendants croient que ces données de la statistique ne peuvent pas être définitives En même temps, l’année dernière la baisse était plus petite que l’on prévoyait – 7,9 pour cent au lieu de 8,5. Pour le ministère du Développement économique cette différence considérable est « l’événement le plus important de l’année ».
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